Assurance

Les comparateurs d’assurance sont des courtiers

Ce sont des intermédiaires entre les assureurs, dont ils sont des apporteurs d’affaires et les particuliers qu’ils conseillent dans le choix de leur contrat d’assurance.

Alors que les agents généraux ne proposent que les contrats de l’assureur dont ils sont le mandataire et que les courtiers travaillent avec un nombre limité d’assureurs, en fonction de leur clientèle, les comparateurs se spécialisent sur un certain type d’assurance, ce qui leur permet de balayer largement leur marché.

Ils passent des accords avec des assureurs qui les rémunèrent en fonction des affaires réalisées par leur intermédiaire, pour les assurés, leur intervention est gratuite, comme pour tout autre intermédiaire.

Leur intervention est ponctuelle et se limite à indiquer à celui qui le consulte, le contrat le mieux adapté à ses besoins et ce au meilleur prix, ils n’interviennent pas dans la réalisation du contrat et de son suivi.

Tout leur travail repose sur l’informatique, pour commencer ils enregistrent toutes les données et conditions des contrats qu’ils sont susceptibles de conseiller à leurs clients sur leur système informatique.

Ensuite ils élaborent les questionnaires dont les réponses doivent permettre de trouver le contrat le mieux adapté aux besoins du client, sans intervention humaine ce sera à l’avenir un vaste domaine pour l’intelligence artificielle.

Le particulier qui consulte le site d’un comparateur d’assurance doit trouver sur celui-ci les conseils et l’assistance de la nature de ceux qu’il trouve sur un site en ligne, l’assurance est une activité réglementée, une réglementation qui remonte à l‘époque des contacts humains, en sachant que c’est un métier très complexe que personne ne possède complètement.

Le conseil que nous pouvons donner à quelqu’un qui s’assure, c’est le lire la description du risque assuré, en prêtant la plus grande attention aux exclusions et de se faire assister par un expert, en cas de sinistre important.

Erik Kauf

Judex est un juriste de la vielle école qui a fait sienne la maxime du professeur Léon Mazeaud, son président de thèse de doctorat , "Que le droit ne s’apprend pas mais se comprend "  en ajoutant " à la condition d’avoir, si possible, l’intelligence du droit "

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